jeudi 28 février 2013

Du cheval dans mon chocolat?


Il semble que l'affaire "Horse Gate" ("portail de cheval" ou le "pont de cheval" prenne de l'ampleur.
Comme le chantait Dutronc, on nous cache tout, on nous dit rien depuis des années.

Même les fabricants d'automobiles réduisent discrètement la cavalerie en mettant moins de chevaux dans leurs moteurs, preuve que malgré l'arrêt officiel de la fabrication de la 2 Chevaux depuis 1989, Citroën met encore du cheval dans ses voitures.

Manquerait plus que de trouver du cheval dans le chocolat!
A mon humble avis, les responsables sont ceux qui vendent les produits finis, c'est à eux que revient la responsabilité de vérifier que le contenu correspond exactement à la liste des ingrédients officiels.

Si je déclare que je mets des pommes de Dol de Bretagne dans la composition de ma confiture, c'est à moi de vérifier que les pommes que j'achète soient bien des Rouget de Dol et que je ne prends pas mes clients pour des Poires.

Que voulez-vous, c'est la crise d'intelligence honnête.

Léon de Dol!

4 commentaires:

  1. Les industriels, afin de maintenir les prix de leurs produits, diminuent les quantités. Quand j'achète mes crakers Belin, il n'y a plus que 85gr au lieu de 100. C'est bon pour mon bidon, pas pour mon plaisir. Omar Sharif ne porte pas plainte. Pourtant, les chevaux, c'est son dada !

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  2. plutôt que d'acheter des "crakers Belin", optez pour les malins craquelins d'Hirel !

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  3. Désolé,je n'aime pas les craquelins ! Tout n'est pas mauvais dans l'industriel. Ce qui compte et merveilles, c'est le plaisir que ça nous procure. On a tous achetés un jour des produits de grandes marques!

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    1. Jean-Pierre joue la carte consommation locale ;)
      Ah! Des craquelins au petit-déjeuner, c'est bien de chez nous ces passoires à confiture.

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